A Madagascar, la
circoncision est un rituel de socialisation obligatoire pour tous les enfants
males. Pour les Malagasy, un homme qui
n’est pas circoncis n’est pas considéré comme un vrai homme, aucune femme n’en
veut, et il n’a pas le droit d’être enterrer dans les tombeaux familial. Pour
eux, un homme non circoncis est un homme impur. Est l’idée même de la
circoncision traditionnel reste également de préparer l’enfant male à savoir
maitrisé la douleur car il deviendra un père de famille plus grand. Et c’est un
devoir lourd à porter. Force donc de souligné que la société malgache est une
société patriarcale.
Bien que cette
conception soit commune pour tous les habitants et tribus de toute l’île, les
rites d’exécution et de célébration diffèrent.
Dans le centre de l’île
La circoncision dans les
hauts plateaux ce fait individuellement. L’exercice de la tradition se s’exécute par le respect de 4 étapes
étroitement relié.
La veille de
l’opération, durant la nuit, tous les membres de la famille dansent et
chantent, souhaitent au petit garçon de devenir riche, puissant, d’être en
bonne santé dans le futur. Les familles placent un tronc de canne à sucre dans
la maison du parent du petit garçon pour leur souhaiter d’avoir beaucoup de
descendance mâle, ainsi la descendance se multiplie.
L’enlèvement du prépuce
se fait à l’aurore, avec un couteau ou une paire de ciseau. Mais avant, un groupe d’homme fort iront
chercher de l’eau de source de montagne ou d’une rivière. C’est de l’eau sacré appelé
« ranomahery », ou « eau forte ». Ce dernier servira à laver la main
de la personne qui a fait la circoncision, le couteau et la plaie.
Et dernièrement, le prépuce une fois
enlever est avalé par le grand père avec de la banane et la famille offre à
l’enfant divers présent qui lui servira de premier richesse et ou pour atténuer
sa douleur.
Avec l’arrivée de la
circoncision à l’américaine, la circoncision à perdue une grande partie de sa
signification et de son vertu, et se fait à présent dans des centres de santé
par des médecins.